L’entraînement d’endurance PDF

football n’est pas très apprécié des joueurs, les entraîneurs sous-estiment son importance 
car ils pensent que c’est une perte de temps et « que les joueurs ne courent jamais à aussi faible allure sur le terrain ».

Cette affirmation n’est pas forcément vraie, une bonne partie des déplacements lors d’un match de football se fait à allure modérée.

De plus, il existe une multitude d’exercices physiques orientés endurance.

Tour n’est pas si simple que cela, voici nos explications.

Qu’est-ce que l’endurance au football ?

En préambule, il existe 3 filières énergétiques que sont :

Aérobie pour les efforts supérieurs à 3′.
Pour schématiser, il s’agit de l’endurance
Anaérobie Lactique pour les efforts compris entre 15 sec et 3′.
Anaérobie Alactique pour les efforts inférieurs à 15 sec. 
Sansentrer dans le détail dans les notions d’aérobie, anaérobie lactique et anaérobie alactique, voir notre article, chaque filière a sa spécificité et son travail adapté.
Mais quoi qu’il arrive, une préparation physique, qu’elle soit football ou non, doit les exploiter.
L’endurance est classiquement définit comme la capacité à maintenir, dans la durée, un effort d’intensité soutenue.
Elle est définit par l’endurance respiratoire (le souffle), l’endurance cardio-vasculaire (le coeur) et l’endurance musculaire (maintenir un effort dans la durée).Pourquoi travailler l’endurance au football ?Comme nous le laissons entendre dans l’introduction et dans le 1er paragraphe, il est obligatoire de travailler à différentes allures et donc en endurance.
C’est en quelque sorte la base, le socle du travail physique.
Nous rencontrons trop souvent des entraîneurs qui passent trop vite cette étape en début de saison pour se concentrer sur un axe VMA.
Sauf qu’un travail trop tôt en VMA (et donc en Anaérobie Lactique ou Alactique suivant le type d’effort) engendre à coup sûr un risque de blessures accrues.
Le football est ce qu’on appelle un sport intermittent c’est-à-dire un enchainement d’efforts intenses (sprint) suivi de phases de récupération (marche ou à l’arrêt comme sur une remise en jeu) à contrario d’un coureur de 100m par exemple qui sera toujours en effort maximal.
Ne travailler qu’un seul aspect (la vitesse) n’est pas suffisant, loin de là.
L’entraînement d’endurance

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